5 accessoires indispensables pour le vélo de route

4 décembre 2017

Vous souhaitez vous mettre au vélo de route ? Vous venez de vous offrir une belle bicyclette et commencez à parcourir les routes de votre région ?
Voici les 5 accessoires indispensables selon moi pour pratiquer le vélo en toute sérénité.

Un casque

Le casque devrait être obligatoire en vélo. Toute personne ayant fait une grosse chute ou ayant subit un accident vous le dira.
D’ailleurs de plus en plus de clubs exigent le port du casque, que ce soit pour leurs membres ou pour les participants aux événements qu’ils organisent. Qu’il s’agisse d’un petit trajet en ville ou d’une sortie toute la journée, mettre votre casque doit vraiment devenir un réflexe : comme disent les anglophones, Better safe than sorry !

Pour débuter, il n’est sans doute pas nécessaire de vous offrir un casque haut de gamme tant qu’il respecte toutes les normes de sécurité. Veillez à ce qu’il vous soit adapté et qu’il soit bien réglé : faites-vous aider par votre vélociste si besoin.

Un bon cuissard

L’une des remarques récurrentes lorsqu’on pratique le vélo, c’est que ça fait mal aux fesses.
Et bien, c’est en partie vrai : quoi que vous fassiez, vous serez toujours assis sur une surface de quelques centimètres carrés.
Cela étant, un bon cuissard vous aidera à préserver votre fessier. La « peau de chamois » est étudiée pour amortir les contacts avec la selle, tandis que les coutures sont placées de manière à éviter les irritations. Veillez à ce que votre cuissard soit bien ajusté pour évitez les plis.

N’hésitez pas à opter pour un produit plutôt haut de gamme, vous ne le regretterez probablement pas !

PS : le cuissard se porte sans sous-vêtements 😉

Un gilet

Après le cuissard, c’est probablement le vêtement le plus utile en vélo : un bon gilet vous protégera du vent et de pluies fines. Il vous sera facile de l’enlever et de le stocker dans la poche arrière de votre maillot par exemple.

Pour ma part, cela fait partie des choses que j’emporte quasi-toujours avec moi quand je vais rouler : quelques barres de céréales en cas de fringale, mes papiers d’identité, un peu de monnaie, de quoi réparer de petites pannes et un bon gilet.

Par la suite, vous pourrez également investir dans une veste de pluie pour les météos moins clémentes.

Des lunettes

Ca n’a l’air de rien, mais avec la vitesse, protéger ses yeux devient vite indispensable : le vent, la pluie, les projections voire même les insectes …
Les lunettes feront vite partie de ces accessoires indispensables que vous prendrez toujours avec vous.

Je vous recommande d’opter pour une paire proposant des verres interchangeables ou photochromiques (à teinte variable) pour s’adapter au mieux aux conditions de visibilité.

Sachez également que de plus en plus de marques proposent des lunettes à votre vue.

Des pédales automatiques

C’est un sujet sur lequel j’ai beaucoup hésité quand je débutais, et que je n’ai jamais regretté par la suite : passer aux pédales automatiques.
Cela peut faire peur de savoir que vos pieds sont attachés aux pédales, et il est vrai qu’il faut prendre l’habitude de déclipser avant de poser le pied par terre (sinon gare à la chute).

Mais plus que le gain en performance, pour ma part c’est surtout un autre aspect que j’apprécie. Avec des pédales automatiques, votre pied est maintenu dans une même position pendant que vous pédalez, ce qui épargne vos articulations et évite d’éventuelles blessures.

Attention : veillez à bien régler vos cales pour débuter. Là encore, votre vélociste pourra sans problème vous aider.

Et après ?

Pour parfaire votre panoplie, des manchons seront très utiles au printemps et à l’automne, voire même en été quand la température est fraiche.

Un compteur, un GPS ou une application sur votre smartphone vous permettront de garder une trace de vos activités. Si vous pratiquez plusieurs sports une montre multi-sports proposera quasiment les mêmes fonctionnalités ; l’idéal est de pouvoir l’accrocher à votre guidon.
Dans tous les cas pensez à rejoindre Strava : c’est un peu LE réseau social des cyclistes (et du sport en général).

Enfin, encore une chose que j’ai regretté de ne pas avoir fait plus tôt : rejoindre un club. Il y en a forcément un près de chez vous, avec quelques subtilités (affiliés à la FFC ou à la FFCT par exemple) mais dans tous les cas vous pourrez rouler avec d’autres cyclistes, bénéficier de leurs conseils et prendre davantage de plaisir dans votre pratique !

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