A Propos

Je n’ai jamais vraiment été nul en sport. A part dans certaines disciplines vraiment pas faites pour moi, je le reconnais. Quoi qu’il en soit, j’ai toujours pris du plaisir à faire du sport, à tel point que j’étais pendant ma scolarité, un habitué du club UNSS. Entre ça et l’EPS, j’ai testé pas mal de sports différents, des classiques (« Endurance », Football, Gymnastique, …) aux moins courants (Hockey sur gazon, ou plutôt sur bitume dans mon cas …), mais n’ai jamais franchi le pas qui m’aurait mené à m’inscrire dans un « vrai » club.
La raison est assez simple : étant musicien (notamment au sein de l’OHVI, autopromo), j’étais déjà bien occupé par ailleurs !
Pourtant, je n’ai jamais cessé d’avoir une activité physique, même en étant étudiant, mais sans objectif, sans régularité : un match de foot par ci, un entraînement de badminton par là, …

No emotion, no life.

En parallèle, j’ai toujours été passionné par les émotions que le sport est capable de transmettre, notamment au travers du petit écran. Ayant passé une bonne partie des étés de mon enfance à regarder le Tour de France à la télévision, ayant vécu le plus grand sacre du sport collectif français en direct en 98 à même pas 10 ans, ayant découvert des tas de sports et adulé des tas de sportifs grâce à des événements comme les Jeux Olympiques, j’ai pris l’habitude avec Internet d’absorber les informations (sportives ou autres) comme une éponge.

Challenges

Depuis quelques temps, près de deux ans en fait, j’ai repris une activité physique très régulière. Des sorties à la piscine tout d’abord, jusqu’à 3 fois par semaine, et des trajets en vélo pour aller travailler, dans un premier temps, ce qui m’a permis de réhabituer mon corps à l’effort régulier. Quel plaisir de voir ses performances s’améliorer, de se voir enchaîner les longueurs de plus en plus longtemps, ou pousser de plus en plus facilement sur les pédales !
Pour autant, je n’avais pas d’objectif précis, pas de but autre que de rester en forme (et de gagner du temps pour aller bosser).

Et puis, début 2013, j’avais envie de défi, de changement. Et une idée un peu folle m’est passée par la tête : faire un triathlon.

Mon entourage a alternativement pris cette idée pour une blague, ou pour une preuve supplémentaire de mon état mental déclinant. Pourtant je n’y vois rien d’insurmontable : je ne parle pas de m’aligner au départ d’un Ironman (pour l’instant), mais de me préparer pour un triathlon Sprint, ou Courte Distance dans le meilleur des cas.

Fort de ce nouvel objectif, j’ai donc ajouté à mes activités quelques sorties running. Ce fut un premier challenge, car je dois l’avouer, cette discipline n’est franchement pas celle qui m’attirait le plus.
D’abord laborieuses, mes séances se sont vites montrées de plus en plus ludiques à mesure que mon niveau s’améliorait. Motivé par ces progrès et par quelques collègues, je me suis aligné à quelques épreuves qui m’ont encore plus motivé pour continuer à pratiquer ce sport.

Malheureusement, des soucis de santé m’ont empêché de prendre part à un premier triathlon, mais ce n’est que partie remise, et j’espère bien y parvenir cette année !